Le tourisme international fait confiance à Bonterra Park

16

septembre

Plusieurs familles originaires de l’Angleterre, de la France et des Pays-Bas nous racontent pourquoi ils se sentent en sécurité chez nous.

Nous avons visité les emplacements de certains de nos « happy campers » internationaux pour qu’ils puissent nous raconter, selon leur point de vue, quel effet cela fait de voyager et de s’éloigner de son pays en période de pandémie et comment ils se sentent à Bonterra Park.

En tant que représentants de leurs pays, nous avons parlé avec Paul Burden et avec la famille Taylor, de l’Angleterre ; avec les Van der Heijden, des Pays-Bas et avec trois couples français : les Etchart, les Mierkiewicz et les Brulé.

Les familles interviewées viennent à Bonterra Park depuis des années et nous assurent qu’ils se sentent tranquilles et en sécurité chez nous. La plupart viennent deux fois par an, au printemps et à l’automne, à l’exception de Paul Burden qui vient normalement entre 7 et 9 mois avec sa femme.

Voyager ou ne pas voyager?

Tous nos interviewés et aussi d’autres clients qui se trouvent actuellement à Bonterra Park ont défié les peurs généralisées et les avertissements de leurs pays quant aux voyages parce que la destination à laquelle ils se dirigeaient leur inspirait confiance.

En guise d’inspection, Paul Burden est venu trois semaines sans sa femme afin d’analyser la situation et, si tout continue stable, elle viendra en avion à la fin du mois. En tout cas, il nous dit qu’il est tranquille.

En ce qui concerne le voyage, ils nous racontent qu’ils se sont sentis en sécurité, surtout parce qu’ils ont voyagé dans leurs voitures ou leurs camping-cars et ils étaient moins exposés.

«Nous avons voyagé sans problèmes. Avant de partir de la France, nous avons décidé de nous faire un test PCR pour vérifier que nous étions en bonne santé et pour avoir une preuve face à une hypothétique demande de documentation durant le voyage ou à la frontière», nous racontent les Etchart.

Nous nous sentons plus en sécurité ici et à Benicàssim que chez nous.

Ils nous racontent que dans leurs pays et dans le reste de l’Europe et de la plupart du monde, la situation se ressemble beaucoup à celle d’Espagne. Leur motivation pour faire les valises et partir de chez eux était que le risque de contagion est le même ou supérieur dans leur pays qu’à Bonterra et à Benicàssim.

Ils pensent tous que, chez eux, ils devraient également sortir et aller au supermarché et qu’ils seraient en contact avec leurs voisins, leurs amis ou leur famille. «Cependant, ici nous sommes seulement avec notre conjoint, toujours dehors et sans contact proche avec d’autres personnes, juste à distance», ils nous disent.

En outre, ils insistent sur la prise de conscience des gens aussi bien à Bonterra Park que dans la rue o les supermarchés. « En Angleterre les gens ne sont pas si sensibilisés et ils ne portent pas de masque. Ici je suis heureux parce qu’il y a beaucoup de précautions et le porte de masque dans le camping et dans la rue est obligatoire et tout le monde le respecte » nous explique Paul Burden.

Hygiène et sécurité maximales

Quand nous leurs demandons son avis au sujet de l’hygiène du camping et des mesures de désinfection, les avis positifs sont unanimes quant à la permanente hygiène «déjà existante » mais ils mettent l’accent sur le « doublement des efforts» et sur la tranquillité avec laquelle ils utilisent les blocs sanitaires et la piscine.

«Le nettoyage est constant, nous sommes plus tranquilles ici qu’en France» nous expliquent les Mierkiewicz.

Benicàssim, destination sûre et saine

Un autre motif pour lequel nos « happy campers » ont décidé de voyager à Benicassim durant ces mois d’incertitude était que notre ville s’avère une destination tranquille qui n’est pas massifiée pendant l’automne, l’hiver et le printemps et où l’on peut profiter de plusieurs activités à l’extérieur, aussi bien à la mer qu’à la montagne.

«Nous nous sentons en sécurité et à l’aise ici. Probablement parce que cette zone est plus sûre que d’autres comme Barcelone ou Madrid» dit Pauline Taylor.

Peurs et doutes

En général, les familles avec lesquelles nous avons parlé sont d’accord avec le besoin d’être prudents et de faire attention et ils ont conscience des mesures prises par leurs pays en ce qui concerne l’Espagne. Néanmoins, ils ne veulent pas arrêter leurs vies.

Les Brulé admettent être un peu inquiets vis-à-vis les informations provenant de la France, au cas où l’Espagne passerait en zone rouge et qu’ils seraient dans l’obligation de rentrer. Malgré tout, ils disent qu’ils se sentent tranquilles et en sécurité chez nous et ils profitent de leur séjour et de leurs promenades à vélo.

Parcela, caravana de clientes de Francia seguros en Bonterra Park, Benicàssim

Les hollandais Van Der Heijden comprennent tout à fait tous ceux qui ont reporté leurs vacances à 2021 mais cela les rend tristes et leurs amis du camping leurs manquent beaucoup. Ceci dit, ils assurent que la situation de leur pays n’est pas beaucoup mieux que celle de l’Espagne et qu’ils se sentent plus en sécurité ici, en plein air.

Il y a un autre inconvénient dont tous ces clients nous parlent : les quarantaines obligatoires que certains pays imposent à ceux qui rentrent d’un voyage. Cela est évidemment compliqué pour ceux qui travaillent mais dans le cas de nos clients, la plupart retraités, ce n’est pas un problème.

En résumé, nos clients internationaux son tranquilles et encouragent leurs amis et leurs compatriotes à sortir de chez eux et à faire confiance à la sécurité de Bonterra Park et de Benicàssim.

Nous tenons à remercier toutes ces familles pour leur collaboration et leur confiance, ainsi qu’à tous les « happy campers » nationaux et internationaux qui sont passés par notre camping dans cette année si compliquée.

Dans un prochain article, nous vous raconterons d’autres histoires de quelques familles espagnoles qui sont dans notre camping.

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